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Nord-Kivu : Quatre étudiants de l’université officielle de Semuliki exclus pour raison de bleusaille
Quatre étudiants de l’université officielle de Semuliki, UOS, basée à Beni en province du Nord-Kivu viennent d’être exclus définitivement de cet établissement d’enseignement supérieur. Selon nos sources sur place, il est reproché à ces quatre étudiants inscrits en deuxième année de graduat dans la faculté des sciences agronomiques de s’être ligués avec ceux d’autres institutions de la place pour procéder à la barbarie au site Dokolo de l’UOS le 20 novembre 2017. Ils étaient minus à en croire la décision rectorale de cette université, de fouets et d’huile de moteur. A travers cette exclusion, les responsables de cette institution disent…
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Sud-Kivu : Installation d’un cadre de concertation humanitaire
Combattre la méfiance, identifier les obstacles de l’action humanitaire et trouver les solutions, c’est parmi les objectifs d’un atelier d’installation du cadre de concertation humanitaire de la province du Sud-Kivu le mardi 21 novembre. Selon les organisateurs de cette activité, depuis plus de 20 ans, la République démocratique du Congo fait face à une crise humanitaire suite aux conflits armés, violences communautaires, insécurité et à la malnutrition. Pour eux, environs 8 millions de personnes sont affectées et méritent ou ont besoin d’une aide humanitaire. Cette activité appuyée par UNHCR et OCHA s’est tenue au centre régional de paix RIO. Plusieurs…
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Sud-Kivu : Journée ville morte, Philemon Yogolelo : que celui qui est rassasié reste à la maison
La société civile décrète une journée ville morte ce mercredi 22 novembre 2O17 dans la ville de Bukavu et sur toute l’étendue de la province du Sud-Kivu. Selon le président du bureau de coordination de la société civile du Sud-Kivu, Maitre Patient Bashombe, cette action citoyenne vise à exiger l’adoption de la loi électorale avant le 30 novembre par le Parlement. Outre cela, il demande le retrait du projet de loi modifiant la loi portant régime applicable aux association sans but lucratif et établissement d’utilité publique en discussion à l’assemblée nationale, la hausse du montant alloué au budget national 2018 …
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Sud-Kivu : Les femmes luttent pour accroître leur représentativité dans des comités de gestion au sein des universités
A Bukavu, dans la province du Sud-Kivu, au moins trois institutions supérieures et universitaires sont dirigées par les femmes sur plus de vingt que compte la ville. Dans les comités de gestion de ces institutions, elles sont faiblement représentées. Les études menées dont celles de l’UNESCO parues en 2016, expliquent que cette sous-représentation date de plusieurs années dans le secteur de l’enseignement supérieur et universitaire du pays. L’UNESCO signale que moins de 30 % du personnel des comités de gestion sont de femmes. Des femmes interrogées indiquent que cela est occasionné par la mauvaise politique de recrutement des agents et…
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Sud-Kivu : Le pouvoir coutumier, quelle place pour les femmes ?
Dans la province du Sud-Kivu, la majorité des femmes n’accèdent pas au pouvoir coutumier. Ce pouvoir étant réservé aux hommes, selon les traditions et les coutumes. Ce qui pousse une certaine opinion à penser que la femme ne mérite pas, elle est incapable de gérer une entité coutumière comme la chefferie ou le groupement. Dans la plupart des traditions et coutumes de la province, la marginalisation de la femme date des temps anciens. Ces coutumes, par exemple, ne permettaient pas à la femme de parler aux hommes tout en étant débout. La femme ne pouvait pas approcher les hommes quand…
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Sud-Kivu : Le projet Badilika réfléchit sur les causes des violences basées sur le genre
Réfléchir sur la résolution 1325 du conseil de sécurité des nations unies, le protocole de Maputo et d’autres moyens nationaux, régionaux, internationaux afin d’informer sur les violences basées sur le genre ; tel est l’objectif d’un atelier d’échange et de formation organisé depuis le lundi 20 novembre par le projet Badilika de la fondation Panzi. Selon Roger Buhendwa, responsable du projet Badilika, en ce premier jour il a été question de dégager les réalités culturelles qui freinent l’homme comme la femme à accéder aux ressources financières, éducationnelles et aux capitaux. « Nous réfléchissons avec les femmes les réalités culturelles qui freinent les…
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