Bukavu : Après la libération de la journaliste Esther KANGA, AFEM exige de réparation suite à la violation des droits humains lors de son arrestation

Après la libération de la journaliste Esther KANGA, Directrice de JAMBO FM, après un temps de détention passée au cachot du Parquet général du Sud kivu, l’Association des Femmes des Médias, *AFEM condamne ces violations des droits humains.
AFEM rappelle que les journalistes et défenseurs des droits humains doivent être protégés par les autorités afin de bien faire leur travail pour le profit de toute la communauté. Et de rappeler que *le journalisme n’est pas un crime.
Cette organisation de promotion de l’équité du genre et défense des droits de la femme salue sa libération et la *mobilisation spontanée de toute la corporation.
Cependant AFEM exige de réparation afin que les auteurs de cette violation des droits humains répondent de leurs actes.
Elle alerte l’opinion tant nationale qu’internationale en vue de la *protection de cette chevalière de la plume et d’autres professionnels des médias ainsi que des défenseurs des droits humains.
*Esther KANGA sortait de l’extérieur pour se diriger dans son bureau, quand elle a été surprise par des garçons habillés en tenue civile, qui l’ont torturée après que leur équipe soit réjointe par des militaires.
Cette femme, professionnelle des médias et mère de famille a été forcée par ces civils et militaires de monter au bord d’un véhicule jusqu’à l’amener au Parquet général du Sud kivu, détenue pendant un temps au cachot.
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