Grand reportage sur la faible représentation des femmes et filles dans les secteurs des sciences et de recherche
Moins de femmes et filles sont encore moins représentées dans les secteurs scientifiques et de la recherche malgré qu’elles capacités et compétences. Selon plusieurs observateurs cette situation est notamment expliquée par des préjuges, des coutumes rétrogrades et parfois le manque des moyens.
Kitumaini MATESO, enseignante des mathématiques, diplômée de l’Institut Supérieur Pédagogique, ISP Bukavu dit être fière de sa filière choisie et de son statut d’enseignante des mathématiques.
Par ailleurs, elle invite d’autres femmes et filles à faire des sciences exactes comme les mathématiques,… Pour elle, l’homme et la femme ont les mêmes capacités et aptitudes.
Et de son côté, la secrétaire exécutive du Caucus des Femmes pour la Paix, Solange LWASHIGA estime qu’il y a plusieurs défis qui freinent les femmes et filles à intégrer davantage les secteurs scientifiques et de recherche.
Pour Solange LWASHIGA, les coutumes rétrogrades, le système patriarcal, la mauvaise socialisation freinent des femmes et filles de s’épanouir bien dans ces domaines ci-haut indiqués.
De leur côté, le Cercle des Amis des Mathématiques via son Vice-président, Antony CIBANGUKA signale qu’il organise des séances de sensibilisation des filles pour faire les mathématiques.
Il indique que le domaine de recherche et scientifique n’est pas un apanage des hommes, mais plutôt de deux sexes.
Et Nicole MATABARO, membre du Centre de Recherche Scientifique de l’ISDR Bukavu invite les familles à bannir les préjuges, la discrimination de l’éducation des filles. Pour elle, les femmes et filles doivent aussi intégrer les sciences et la recherche.
Pour l’équipe de la réalisation du magazine, présentation : Tharcile BWAYE
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