Le BCNUDH échange sur les expériences des femmes avant, pendant et après le projet dans l’exercice de leurs activités

Le Bureau Conjoint des Nations Unies aux Droits de l’Homme BCNUDH  vient d’échanger avec les femmes sur les violences sexuelles et celles basées sur le genre.

Au cours de cette rencontre, un accent a été mis sur les défis et difficultés que rencontrent ces femmes dans l’exécution des projets qui cadrent avec la lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre.

Charlotte SONGUE, conseillère principale intérimaire en protection de la femme au sein du BCNUDH renseigne que les femmes ont été formées dans l’objectif de leur permettre de se prendre en charge.

Elles ont aussi puisé les acquis et les expériences du projet wosh pour s’autonomiser, afin qu’elles aillent de l’avant et mener d’autres actions susceptibles d’améliorer les conditions des femmes dans différentes localités des territoires du sud Kivu.

Charlotte SONGUE renseigne que le premier projet Wosh ou women of Shabunda avait été lancé en 2019 jusqu’en 2021 et le deuxième projet en 2022 pour l’engagement de la femme sur la protection des droits de la femme.

Ce projet avait aussi mis l’accent sur le renforcement des capacités et la promotion de l’autonomisation de la femme.

« Parmi ces femmes, plusieurs sont responsables dans certains secteurs de la vie comme des présidentes des coopératives minières des femmes, d’autres sont des présidentes des Associations Villageoises d’Epargne et des Crédits AVEC. » Indique Charlotte SONGUE

Elle précise que ces femmes doivent restées vigilantes et prêtes à apprendre.

C’est ainsi que les autorités sont appelées à les exploiter dans certains domaines, car elles sont informées et formées dans différents domaines du secteur étatique.

Cet atelier a réuni différentes femmes des Coopératives minières de Kigulube et Nzovu dans le territoire de Shanbunda, et de Bukavu au sud Kivu ainsi que Goma au nord Kivu en marge des activités UN ACTION.