Sud Kivu : Des responsables des médias appellent à leur protection dans l’exercice de leur métier

L’exercice du métier du journalisme pose encore problème dans certains coins de la province du Sud Kivu. Ces derniers peinent  à accéder aux sources d’informations ; d’autres sont victimes des intimidations et menaces des morts voire tués, souvent  par des parties en conflit. Un problème qui s’observe malgré le garanti du droit international humanitaire, qui les protège. Après des autorités et leaders, l’Association des Femmes des Médias, AFEM vient réunir des responsables des médias pour réfléchir sur ce problème.       Cette activité est organisée  avec l’appui financier de Free Press Unlimited à travers le projet sécurité des journalistes, période de deux ans.

Des responsables des médias de Baraka-Fizi en appellent à leur protection conformément aux dispositions du droit international humanitaire

Cette recommandation intervient au cours d’une émission sanctionnant la formation sur le droit international humanitaire de la presse pour la sécurisation des journalistes et leurs maisons de presse dans les zones des conflits armés 17 Juin à Baraka

Ces chevaliers de la plume font savoir que plusieurs cas d’atteinte à la liberté de la presse sont rapportés lors de la couverture et la diffusion des évènements ayany trait à la situation sécuritaire, d’autres par contre ont du mal à accéder aux sources d’informations fiables.

Une situation à la base de la désinformation, panique ou psychose au sein de la communauté,

Le facilitateur du jour, Mtre Alfredy Wilonja indique que les chevaliers de la plume ont droit à la protection, car ne faisant pas partie des protagonistes

D’où leur liberté d’informer et d’accès aux informations de qualité de la part de toutes parties en conflits doivent leur être garantis

Wilonja précise que le DIH s’applique dans les zones en conflits armés afin de protéger les personnes ne faisant pas ou plus partie aux conflits parmi lesquelles les journalistes.