Sud kivu: espace étudiant CERDAF organise une conférence en marge de la journée internationale du refus de la misère

L’humanité célèbre chaque le 17 Octobre de l’année, la Journée mondiale du refus de la misère. En marge de la célébration, l’espace étudiant du CERDAF vient d’organiser une conférence avec des jeunes et étudiants. Ce Centre De Recherche Et De Documentation Africaine, CERDAF a réuni dans cette conférence des jeunes et étudiants de différents instituts supérieurs et universités avec un focus de l’exposé sur la lutte contre la pauvreté dans la province du Sud kivu.

Combattre la misère dans la province du Sud kivu et contribuer à l’amélioration du bien-être des habitants, mais aussi combattre les maladies liées à la mal nutrition, voici ce qui a motivé la célébration de la journée mondiale du refus de la misère organisée par le club des jeunes et étudiants du CERDAF.

Pour cette année, la journée du refus de la misère est célébrée sous le thème : « construire l’avenir ensemble, mettons fin à la pauvreté persistante en respectant toutes les personnes et notre planète Â» ; une journée instaurée par l’ONU le 17 Octobre.

Pour les organisateurs, la population du Sud kivu est exposée à la misère étant donné que beaucoup de familles vivent au taux du jour, d’autres n’ont même pas de source de revenu et d’autres encore vivent sans revenu ; la majorité étant au chômage.

Le rapporteur général du CERDAF, Alexandre kashuka invite des autorités à combattre la misère, qui passe notamment par la création d’emploi, la sécurisation du territoire national,…

« Il est concevable qu’une grande partie de la population Congolaise vivait dans une situation de misère criante, malgré les ressources naturelles de notre pays. Nous invitons nos autorités non seulement à combattre la pauvreté, mais aussi associer des habitants dans la gestion et assurer un partage équitable des richesses du pays Â» confie Alexandre Kashuka

Pour lui, tout le monde est appelé à manger trois fois par jour avec un repas équilibré, mais aujourd’hui impossible de le faire regrette Alexandre M.