Sud Kivu : Les sages-femmes jouent un rôle important dans la période de la maternité
Malgré l’importance du travail des sages-femmes, ces derniers sont encore loin d’être mieux rémunérés dans l’exercice de leur fonction. Des analystes des questions de santé estiment que ces personnels de santé méritent un soutien du Gouvernement au vu de leur rôle combien important, notamment elles prodiguent des soins pré et postnatals, donnent des conseils en matière de planification familiale, dépistent les infections sexuellement transmissibles et les traitent, et proposent des services de santé maternelle et procréative aux jeunes. Elles promeuvent donc la santé et le bien-être au sein de leur communauté, font savoir ces derniers.
Le travail des sages-femmes demeure prépondérant durant le processus de la maternité. Elles donnent la vie au bébé et assure un bon accouchement aux femmes enceintes.
Malgré l’importance de leur travail, les sages-femmes ne sont pas considérées ni avec le Gouvernement congolais moins encore avec les structures sanitaires œuvrant sur l’ensemble de la province du Sud Kivu.
La province du Sud Kivu fait face à des problèmes liés au manque d’infrastructures adéquates et des personnels qualifiés pour la prise en charge des pathologies y compris l’accouchement des femmes enceintes.
Plusieurs femmes voulant donner la vie perdent la leur pourtant l’organisation mondiale de la santé, OMS qui précise qu’aucune femme ne devrait pas perdre sa vie en voulant donner la vie.
Des sages-femmes constituées des hommes et des femmes exercent quelque fois par expérience et d’autres suivent un cursus normal d’enseignement supérieur pour aider les femmes à donner la vie.
La maitresse sages-femmes à la maternité de l’hôpital général de référence de Panzi, Marthe Byamungu regrette que les sages-femmes vivent dans des conditions inacceptables.
Certains d’eux ne sont pas rémunérés et d’autres rendent un mauvais service , car travail sans plateau technique bien équipe.
Elle fait savoir que la prise en charge des sages-femmes émane de la responsabilité directe du Gouvernement congolais, sensé pendre en charge les sages-femmes.
Elle note qu’au regard du travail qu’abat les sages-femmes, un traitement particulier devrait suivre leur travail.
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