Sud kivu : Women for women échange sur l’accès à la justice des victimes des violences sexuelles et basées sur le genre

Beaucoup de cas en justice des viols, violences sexuelles et celles basées sur le genre souffrent d’exécution. D’autre part, plusieurs victimes ne bénéficient pas de réparation et certains bourreaux sont impunis. Face à cette problématique, Women for women vient de réfléchir avec des organisations, qui défendent les droits de la femme sur l’accès des victimes à la justice, l’exécution de jugement. L’occasion a été aussi de primer certaines personnes, qui se démarquent dans la promotion de la femme.  

Discuter  avec les parties prenantes sur le plaidoyer sur l’accès des victimes des violences sexuelles et celles basées sur le genre c’est l’objectif d’un diner de plaidoyer organisé par Women  for Women  dans le cadre du projet des femmes pour le changement appuyé par le gouvernement Néerlandais.

Au cours  de ces assises plusieurs cas des violences basées sur le genre ont été communiqués par des organisations, parmi l’Association des Femmes des Médias, AFEM, qui travaillent dans la lutte contre ces violences.   

Dans les territoires de Walungu et Kabare,  pour l’année en cours 189 cas des violences basées sur le genre ont été enregistrés, et sont allés en appel, prononcés, mais jusque-là sans exécution.

Cette situation est dénoncée par les organisions qui ont mené de recherche. Elles demandent l’implication des autorités compétentes pour qui est exécution de  ces cas et que les auteurs  soient punis afin que les victimes soient remis dans leurs droits.

 Â« Nous avons voulu discuter sur cette problématique afin de trouver solution à cette sorte d’impunité des cas des violences sexuelles et celles basées sur le genre. Nous invitons des autorités judiciaires à prononcer de jugement et des autorités de tutelle d’exécuter ce jugement Â» confie Gislaine Maombi, la chargée de  renforcement de capacité sociale de femme

Au cours de la même activité, la remise des certificats de reconnaissance ont été donné à quatre organisations, qui ont pris en  considération les capacités féminines, parmi lesquelles la Clinique étoile du Congo par son médecin chef de zone Pierre Kasole.

Celui-ci  remercie Women for Women d’avoir pensé à leur clinique et promet de continuer avec la lutte pour que les femmes soient représentées à la gestion à tous les niveaux dans leur structure. Les autorités présentes à ces assises s’engagent à accompagner les cas des violences sexuelles faites aux femmes jusqu’à à l’exécution