Monde : La consommation de l’alcool, un danger pour une femme enceinte (OMS)

Posté par  Cikuru Kadjunga   à       5 années ago     780 Views     Laisser vos impressions  

L’organisation des nations unies pour la santé, OMS, indique que la consommation d’alcool par une femme enceinte peut entrainer l’avortement, le retard dans la croissance du bébé ou le déficit intellectuel. Une annonce qui cadre avec la célébration de journée mondiale de sensibilisation au syndrome d’alcoolisation fÅ“tale, de chaque le 09 septembre de l’année. Selon l’organisation mondiale de la santé, OMS, cette journée vise à mobiliser pour informer le grand public et les professionnels concernés par les questions de santé, quant aux séquelles potentielles d’une exposition prénatale à l’alcool.

Les conséquences de la consommation d’alcool pendant la grossesse

L’OMS signale que l’alcool consommé par les femmes a la capacité de très bien passer au travers de la barrière placentaire et donc toucher directement l’enfant à naître. Il agit notamment sur le système nerveux central du bébé et peut avoir des conséquences irréversibles sur son développement.

Première cause de handicap mental non génétique

Cet organisme des Nations unies chargé de la santé, OMS, fait savoir que  dans les pays occidentaux, la consommation d’alcool pendant la grossesse est la première cause d’handicap mental d’origine non génétique chez l’enfant.

Ces chiffres  concerne chaque année en France 1 % des bébés qui y naissent, soit environ 8 000 bébés atteints (chiffres englobant l’ensemble des anomalies causées par l’alcool).

Sensibiliser les mères et leurs compagnons

La journée internationale de prévention du SAF est l’occasion de se mobiliser pour informer le grand public et les professionnels concernés par les questions de santé, quant aux séquelles potentielles d’une exposition prénatale à l’alcool.

L’arrêt complet de la consommation d’alcool est très vivement recommandé dès le début de la grossesse et pendant toute sa durée. On estime en effet que le seuil en dessous duquel il y aurait un risque O n’existe pas. Voilà enfin une bonne raison d’appliquer notre fameux « principe de précaution ».

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