Spécial dossier magazine sur des femmes brûlées vives ou chassées de leurs milieux à cause des accusations de sorcellerie

Des cas des femmes brûlées vives, chassées de leurs milieux continuent d’être signalés par des organisations des droits humains à cause des accusations de sorcellerie. En 20221, l’Association des Femmes des Médias, AFEM a documenté plus de 352 ca d’accusations sorcières, parmi lesquels des femmes brulées vives.

Ces organisations des droits humains en général, et de la femme en particulier, à l’instar d’AFEM, demandent la mise en application de l’édit portant interdiction de la justice populaire, non promulgué par le gouvernement pourtant voté depuis 2012.

Le député David MUBALAMA appelle à l’implication des toutes les parties prenantes pour combattre ce phénomène. Et le ministère provincial de l’intérieur promet de sanctionner les auteurs de ces accusations et la fermeture des chambres de prière.

Pour l’équipe de la réalisation, présentation : Elysée MUZALIYA